Ce matin là, je décidais d'aller faire une petite promenade du lac et la lecture d'un de mes nouveaux romans que je venais d'acheter à la librairie du centre ville. J'aimais sentir le vents frôler mon visage et le calme. Je pouvais toutefois tolérer cette musique naturel, que possède la nature. Entre chaque nouvelles pages de mon roman que je tournais, je relevais parfois la tête pour observer quelques grenouilles ou autres petit animaux passant par ci, par là.

Je lançais quelques vifs coups d'œil à la météo qui faisait une fois de plus des caprices, un coup un rayon de soleil transperce les nuages un autres coup, ceux ci cache le soleil. Mais bon, cela faisait un an, que je vivais a Forks, auprès de ma tante, et je dois avouer que j'avais pris l'habitude de voir le ciels gris et l'air brumeux. Je me replongea dans mon livre, en ce moment je ne savais par trop se que j'avais mais je lisais pas mal de livre sur le paranormal et des créatures étranges, immortelles, assoiffés de sang et qui ne se montraient que la nuit tombé.

Je parle évidemment de ces créatures qu'on nomme: Vampires. Mais personnellement, je savais bien que cela n'existait pas, je n'était pas naïve à ce point tout de même!
Je remettais mes longs cheveux châtains châtains an arrière, car ils me gênaient dans ma lecture...

Quand j'entendis, une branche morte craquer sous le poids d'une personne.
Je me retournais pas, car je me disais que j'avais du surement rêver, et puis s'il y a avait eu quelqu'un... c'est normal après tout, le lac ne m'appartenait pas!

Je me remis à lire, essayant de faire abstractions du premier bruit que j'avais entendu.
Quand un second se fit entendre, mais celui ci était, plus net, plus précis...

- Qui es là ? avais-je dis d'une vois presque inaudible.

C'était un bruit de pas, là, juste derrière moi. Je me tourna net ma tête vers l'inconnu!

- Qui... qui êtes vous ? avais-je déclaré d'un air interrogateur.

Je me leva est me posta devant lui, attendant une réponse de sa part...

-je m'appelle julien,julien mallen.et toi? m'avait-il répondu.

J'ai trop occupée a regarder ses vêtements tout trempés pour lui répondre tout de suite. Je laissa échapper un petit sourire.
Je le regardais un moment, c'est fou ce qu'il était... magnifique..
Même avec ses vêtements trempés.
Il n'avait pas cette beauté quelconque qu'on pouvait croiser dans les pages de magazine de mode, même si je suis loin du monde de la mode. Mais bref, c'était pour qu'il était... différent.

- Enchantée, moi c'est Mackenzie... Mackenzie Candel... mais je préfère qu'on m'appelle Mac. avais-je répondu tout en regardant son visage souillé par un peu de boue.

Je n'osais pas le regarder droit dans les yeux, cela était mal polie. Je fouilla dans mon besace et en sortie un mouchoir en tissu, certes il serait sale à present mais qu'importe se n'est qu'un mouchoir. Je m'approcha de lui, hésitant à lui essuyer le visage, mon visage était à quelques mètres du sien... Je décidais de lui tendre le mouchoir.

J'attendis qu'il eut finis de s'essuyer le visage, je restais là devant lui...

- Tu... tu viens d'arriver à Forks ? avais-je osais demander.

Mackenzie...quelle jolie nom!elle etais asser special pour une humaine,mais peu importe.elle me tendit un mouchoire et j'essuya mon visage qui avait quelque tache de boue.il faut vraiment que je pratique mes saut!je lui rendit son morceau de tissu blanc et lui sourit amicalement.elle me demanda si j'etais nouveau a forks et je lui dit:

-ouais,sa fait a pene une semaine.

Je l'invita a s'assoir et elle aquiessa.nous restions assit pendant un moment,puisque je n'avais pas vraiment rien a dire -d'intelligent- pour le moment.je sais que cela pourrait etre dangeureux pour l'existense des vampire,mais c'etais plus fort que moi:elle etais trop belle.pour une humaine,c'etais etrange,mais peut-importe.pour l'instent,une seul question trotait dans ma tete: lui prendre la main ou non,il fallait bien que quelqun commence par quelque chose...je la regardais,hesitant.je pourrais peut-etre faire un des plus vieux coup du monde:faire semblant de m'etirer et passer mon bras autour de son cou?ou tout simplement l'inviter a sortir?ce serait plus raisonnable.il fallait que je rammasse mon courage a deux main.

-euh..tu..je...tu veux...

encore une fois,j'avais tourjours l'air d'un imbecil.

Il prit mon mouchoir et s'essuya le peu de boue qui était sur son visage.
Je rigolais car, il ne semblait pas déranger par ses vêtements mouillés. Son t-shirt blanc était mouillé, il lui collait à sa peau pâle et blanche comme neige, je baissa très vite les eux.

*Mais qu'est ce qui m'prends moi ! * pensais-je tout bas dans ma tête essayant de cacher mon malaise.

-ouais,sa fait a peine une semaine. me répondit-il à la question que je lui avais posé auparavant.

Il me rendit mon mouchoir, avec un magnifique sourire aux lèvres. Ce que son sourire pouvait être craquant, mais je suis sûr qu'il n'est célibataire. Comment quelqu'un d'aussi... beau et parfait pourrait être libre. Je laissa mes pensées de côtés et reprit mon mouchoir un peu sali, mais cela me faisait un bon souvenir de lui que je garderais précieusement. Quand je sais mon mouchoir, ma main frôla la sienne... sa main était... glacée. Cela devait surement être à cause du lac, oui car celui ci était tombé quelques minutes auparavant. Bizarrement, je ne voulais en aucun cas retirer ma main de la sienne, mais cela serais déplacé et ma main devait surement le gêner.


L'enleva rapidement ma main et regarda autour de nous!
Pas une personne, pas un chat... c'est-à-ce dire que ce lac semblerait abandonnés.
En même temps, désirais-je vraiment que quelqu'un vienne nous déranger ?
Je ne savais pas vraiment quoi répondre à cette question.
Je reporta mon attention sur lui, puis à un moment celui ci m'invita à m'assoir à ses côtés. J' accepta avec plaisir et m'assis à ces côtés, je regarda la beauté du lac pour fuir sa beauté à lui... Je sentis une sorte de fixation de sa part à mon égards, j'étais un peu gêner qu'il me regarde, d'habitude personne ne faisait attention à moi, j'étais bien trop timide et solitaire pour me mélanger à la population Forksienne.

Il eut un silence presque déconcertant, quand celui ci déclara:

-euh..tu..je...tu veux...

Je ne comprenais pas vraiment, ce qu'il voulait dire, mais j'aimais son accent français.
J'en suis sûr et certaine qu'il l'étais!
Je le regardais droit dans les eux faisant abstraction de tous se qui étais autour.
Je sentis sa main se poser sur la mienne, je me sentis comme soulagée...
Pourquoi? Je ne le savais guère... Attendez... serais-je en train de tomber sous le charme de ce jeune homme ? Oui, s'était toute à fais cela! Je rougissais à cette idée!

Je me laissa faire volontiers et me rapprocha légèrement de lui, il semblait encore gelé mais peu importe je voulais profiter du moment présent...
J' entrelaça mes doigts dans les siens, mon cœur battait la chamade à se moment là, s'en rendait-il compte ?

- Oui... je pense... que je... voudrais dis-je tout en lui souriant.

Je ne savais guère ce qu'il voulait... mais son visage, ses yeux, ses lèvres, et son accent m'avais envoûtée!
Le vent déplaça une de mes longues mèches devant mon visage, je la remis à sa place et le regarda fixement attendant d'en savoir plus sur lui...

j'eut enfin le courage de lui prendre la main,et elle se laissa faire.elle entrallassa ses doigt autour des mien,sans gêne.elle etais special comme humaine,vraiment special.mais je ne devrait peut-etre pas sortir avec elle,les volturie pourait s'en mêler...mais peut-importe,seul le moment present comptait pour l'instant.je n'avait jamais rencontrer quelqu'un d'aussi...charmante.elle se rapocha de moi,mais frissonna en se rendant compte que mon corp etais terribelement froid.elle n'avait pas l'air dérenger par mon corp tramper.elle repondit a ma question de depart de la même maniere que je lui avait poser.j'eu un petit ricanement,et lui posa la veritable question,moin gêner.

-je voulais dire,veux tu sortir avec moi?on pourrait aller au ciné qu'est ce que tu en dit?

je lui sourit,mais eu quand meme peur que mackenzie disent non.je ne savais pas si c'etais le bon moment pour lui demander,mais sela m'etais egale.j'attendait sa reponse en jouant avec une meche de mes cheveux.

Il eu un petit rire à ma réponse,et me répondit:

-je voulais dire,veux tu sortir avec moi?on pourrait aller au ciné qu'est ce que tu en dit? m'ait-il reformulé en une seul phrase cette fois ci.

Je plissa mon front et regarda le lac, en pleine réflexion. C'est la première fois qu'un garçon me demandait de sortir en sa compagnie. J'étais heureuse au fonds de moi, même si cela ne se voyait pas. J'allais surement pas refusée cela, sous prétexte que j'avais des angoisses se serait ridicule et je passerais pour une folle!

*Mackenzie, ca va aller, t'as juste à dire oui et tout va s'passer bien... les gens vont quand même pas t'bouffer ni... t'embêter! * Pensais-je, en me parlant à moi même.

*Eh! voilà, maintenant j'en suis réduite à me parler à moi-même, qu'est que je peux être pitoyable des fois...* repensais-je tout bas, tout en me parlant à moi même.

Je tourna ma tête vers lui, il était magnifique. Si j'avais eu mon appareil photo ou mon carnet de croquis, j'aurais passé la journée à faire des portrait de son visage !
Je regardais ses cheveux mouillée, ce qu'il pouvait avoir un air... sexy comme ca, il le savait surement... ou pas. Il jouait avec une des ses mèches couleurs blonds or.

J' inspira une bouffée d'air, pour me donner un peu de courage et lui répondis:

- Ce serait avec plaisir, oui pourquoi pas un cinéma. Mais avant j'aimerais apprendre à te connaître... j'aimerais juste en savoir un peu sur toi, ton histoire, ce que tu aimes... etc.. si cela n'est pas déplacé de ma part... avais-je tout en mordant la lèvre inférieur un peu gênée.

Le vent vint souffler sur mon visage, mes cheveux se soulevèrent automatiquement.
J'aimais cette sensation d'air frais sur mon visage, cela me détendais. Je tourna la tête vers Julien, il me fixait, je le fixais à mon tour et lui lança un grand sourire. J'étais heureuse de l'avoir rencontré, le savait-il ? Je n'en savais aucune idée...

elle regardais le lac,ne me repondait pas tout de suite.*pour vue qu'elle ne dise pas non.pensai-je.elle se retourna vers moi,et m'admirais.elle me rouvais surment mignon,mais c'etais mon coter vampire.elle me dit que oui,mais voulait en savoir plus sur moi.elle avait dit oui!!!!elle avait accepter.un grand sourrire se dessina sur mes levre .mais je ne pouvais pas vraiment lui raconter ma vrai histoire.je devait mentir.si elle savais mon secret,les volturi s'en melerait surment.je ne voulait pas qui lui arrive quoi que se soit.

-euh...mon histoire...ben mes parent n'etais pas tres fortuner a l'epoque,et ma soeur kat etais malade de la tuberculose,de meme que ma soeur mau.nous devions a tout prit changer de pays ou les hopitaux etais meilleur.nous sommes aller en a forks,mais a cette epoque,je n'avait que 9 ans.et puis mes deux soeur sont morte la meme journée,a ma fete de 12 ans,mes parent revenais de voyage pour me souhaiter joyeuse anniversaire et l'avion qu'Ils avait prit s'est ecraser.je dut vivre seul tout se temp,car je n'avait personne pour s'occuper de moi.et tu voulais savoir se que j'aime,ben j'aime beaucoup la guitare,et le chant quelque fois.j'aime aussi dessiner.j' aime me promener dans la foret,proche de la plage quileute mais seul.j'aime faire du skate,j'aime le sport et s'est tout.a toi maintenant.

je la regardais,attendant son histoire a elle.

-euh...mon histoire...ben mes parent n'etais pas tres fortuner a l'epoque,et ma soeur kat etais malade de la tuberculose,de meme que ma soeur mau.nous devions a tout prit changer de pays ou les hopitaux etais meilleur.nous sommes aller en a forks,mais a cette epoque,je n'avait que 9 ans.et puis mes deux soeur sont morte la meme journée,a ma fete de 12 ans,mes parent revenais de voyage pour me souhaiter joyeuse anniversaire et l'avion qu'Ils avait prit s'est ecraser.je dut vivre seul tout se temp,car je n'avait personne pour s'occuper de moi.et tu voulais savoir se que j'aime,ben j'aime beaucoup la guitare,et le chant quelque fois.j'aime aussi dessiner.j' aime me promener dans la foret,proche de la plage quileute mais seul.j'aime faire du skate,j'aime le sport et s'est tout.a toi maintenant.


Je l'écoutais attentivement raconter son histoire. Il semblait gêner au tout début, je savais que ma question était quelques peu déplacée mais je voulais tellement en savoir plus sur lui. Quand il eut finit, il me demanda de racontais la mienne. Je n'aimais pas ressasser mon passé, mais après tout il m'avait livré le sien, je me devais de lui conter le mien. J' inspira à nouveau une bouffée d'air frais et me mis à dire:

- Je suis née à Seattle, grand ville non loin de Forks justement. Je vécue avec mes parents jusqu'à mes 7 ans, on était heureux, on menait une vie paisible. Puis un beau jours, je fis une grave chute, je suis tomber d'un arbre, d'à peu près trois mètres, trois mètres et demi. Je suis restée à l'hôpital inconsciente. Je me réveilla après plusieurs jours de "coma", je vis mes parents en larmes. Je ne savais pas au début, mais plus tard, j'avais appris que je risquais d'être... paralysée à vie. Je me battais jours après jours, pour remarcher sans grands résultats. Je n'arrivais à faire qu'un seul pas avant de m'effondrer par terre. J'étais désespérée mes parents aussi d'ailleurs. Je ne pouvais me résigner à rester dans mon lit d'hôpital sans rien faire. Sans rien faire pour ca s'arrange, j'avais comme une haine envers ce qui m'arrivais. Quelques mois, après j'étais toujours à l'hôpital mais un jour alors que je faisais mes exercices de rééducation habituel, je réussis à marcher plus longtemps que d'habitude. Les médecins avaient dit que cela étais impossible, que c'était qu'une phase de ma rééducation et que très vite, j'allais me retrouver encore une fois paralysée. Je ne voulais pas croire, je m'en fichais des médecins, de ce qu'ils pouvaient bien dire! Moi j'étais heureuse... heureuse de sentir à nouveau mes jambes et mes pieds, de pouvoir me tenir debout!

Je décidais donc d'appeler mes parents, de leur faire partager ma joie. Ils étaient heureux et ils m'avaient dit qu'ils arrivaient... mais, ils... avais-je racontée jusqu'à se que je m'arrête, je fixais le lac des larmes me montèrent aux eux, et un torrent de larmes y coulèrent.

je repris toujours en larmes:

- Mais... mais... ils ne sont jamais arrivés. Ils sont morts en route, un camion leur est rentrée dedans et tout s'enflamma la voiture, le camion et les corps de mes parents!
La police avait dit que cela était un accident que malheureusement, cela arrivait !
Je me retrouva seule sans personne à qui m'accrochais, on appela l'hôpital et en m'annonça que j'avais une tante qui habitait Forks, je fus surprise car je n'avais jamais entendue parler d'une quelconque tante. Apparemment s' étais la sœur cadette de mon père. Un jour celle ci vint me voir, elle ne ressemblais pas du tout à mon père, elle était gentille. Tellement gentille, qu'elle accepta de me prendre avec elle, de m'élever. C'est comme ca que j' atterri à Forks. Toutefois, je suis suivis pas un psychologue, car d'après les médecins, j'ai encore un gros traumatisme. Je fais beaucoup de cauchemars la nuit, j'ai aussi de grandes angoisses parfois. C'est pour cela que je n'aime pas me mélanger avec les autres jeunes et c'est pour cela que je ne vais pas au Lycée comme les autres même si je le désire profondément. Je suis des cours par correspondance mais je suis évaluer et surveiller comme tout élevé d'un établissement scolaire.
Ils y a quelques jours, j'ai appris surtout que j'avais un grand père, il est médecin apparemment, ironie du sort hein?!

En plus de cela, il prétends vouloir faire ma connaissance et puis quoi encore, je vais devenir sa parfaite petite-fille adorée ? Il en ai pas question après tout ce qu'il a fait à mes parents, il peut toujours rêver ce salop !!! avais-je terminée en colère et complétement déboussolée.


Je tourna ma tête vers lui, il semblait choqué, presque stupéfait par mon histoire. Il devait me prendre pour une folle avec une famille de folle!
Ce n'était pas le seul d'ailleurs!
Je regardais dans sa direction, il semblait songeur tout à coup...
J'attendis patiemment, se qu'il avait à me dire...

comme sa,elle avait été paralyser?!pauvre mackenzie...et aussi,quel mort subite de ses parent!quand elle se mit a pleurer,j'essuyais ses larme avec mes doigt.elle sourit un peu et continua son histoire.elle la finit en colere,car elle avait un grand pere medecin.je la comprenais d'etre facher,moi je n'ai jamais reprit l'avion depuis la mort de mes parent,de peur qu'il s'ecrase.mais elle n'avait pas a etre facher apres son grand pere,il n'avait rien fait de mal.

-je te comprend mac,mais tu n'as pas a etre facher apres ton grand pere,ce n'est pas de sa faute.il doit tellement avoir hate de te voir et tu ne veux pas lui faire plaisir?

je lui sourit un peu et remarqua que le soleil se couchait deja:

-le temp passe vite en bonne compagnie mais je peux toujours compter sur toi pour se soir?j'irais te prendre cher toi dison...a 19h00?on choisira le film sur place.

je lui sourit encore attendant une reponse de l'humaine qui etais devant moi...

Il sécha mes larmes du bout de son pouce. Ses mains étais toujours aussi froide, curieux et pourtant il n'était plus aussi mouillée que tout à l'heure. Bizarre tous ca, mais je me laissa distraire par son doux visage et sa gentillesse.

-je te comprend mac,mais tu n'as pas a etre facher apres ton grand pere,ce n'est pas de sa faute.il doit tellement avoir hate de te voir et tu ne veux pas lui faire plaisir? m'avait-il dit.

- Je suis fâché contre lui car, autrefois, il a renier mon père, qui ne voulais pas devenir médecin comme lui. Alors ca n'a pas plus à "Monsieur" alors il s'est mis à lui coupé, les vivres et mon père s'en est enfuie loin de cet homme cruel. Il n'y a pas que cela, ma tante me dit de me méfier de lui. Elle dit qu'il n'a jamais été gentille et qu'il ne le sera pas maintenant sous prétexte qu'il découvre sa petite-fille. J'ai hérité de la fortune de la famille grâce à la mère de mon père, donc ma grand mère, elle est morte il y a quelques année de ca. Donc ma tante m'affirme que cela viendrait de là, son retour et surtout son installation à Forks...

Je resserra ma main dans la sienne pendant un bon moment, puis il se leva et me dit:

-le temps passe vite en bonne compagnie, mais je peux toujours compter sur toi pour se soir ? j'irais te prendre cher toi disons...a 19h00?on choisira le film sur place. m'avait-il dit l'air ravie.

Je lui souriais, apparemment il ne savait pas que je commençais à l'aimer de plus en plus.

J' acquiesça positivement puis répondit:

- D'accord, je serais chez moi, je rentre me préparer alors...

Je me posta devant lui, ne sachant comment partir. Il allait partir , quand tout aussi surprise que lui, je pris son visage entre mes deux mains et l'embrassa langoureusement... Cela dura plusieurs seconde.

Je le regarda une dernière fois et dis:

- A 19H00 alors...

Je détacha mes mains et me mis en route chez moi, ne me retournant pas car s'il voyait que j'étais rouge tomate, il pourrait pas se retenir de rires...

j'allait partir par le meme chemain que j'avais emprunter pour venir ici quand soudainement elle prit mon visage entre ses main et m'embrassa.je lui rendit son baiser,mais ma gorge brulait.il serait difficil de sortir avec une humaine,mais je m'y ferait.le baiser dura quelque seconde,puis elle me lacha.j'etais vraiment surpris.elle me confirma qu'elle serait prete a 19 heure,me donna son adresse,et partit.elle devait surment rougir au plus haut point.je restais figer comme une statut,puis ,quand elle fut partit ,je disparut a une allure vampirique en direction de ma maison.je cherchait de quoi me mettre,ne voulant pas passer pour un imbecil.je regarda ma montre:18h.il me restait une bonne heure avant de partir.je choisi un jeans noir,je ne voulait pas etre trop chic non plus.je prit un t-shirt vert fashet mit une casquette a palette droite.je pacienta devant ma maison,toujours aussi concentrer sur ma montre.quand il fut 18h45,je monta dans ma mostagne et partit en direction de l'adresse que mackenzie m'avais donner.je fut devant sa porte a 19h(je suis ponctuelle )et je sonna.j'attendit que quelqu'un vienne m'ouvrire.je percus des pas devalant des escalier,et un coeur battent la chamade.puis,la portre s'ouvrit...