Depuis ma rencontre en foret avec cette étrange fille, je n’avais plus l’envie d’y retourné pensent qu’à cette période actuelle les animaux était plus agressif qu’à la normal. Pensent que c’était trop dangereux je décidai d’allé faire une randonnée en essayent de faire le tour du lac, enfin d’essaye de faire le tour. J’étais partie tôt se matin a l’aube pour avoir la chance de faire le tour. Je profitai pleinement du paysage de la nature qui se réveille. Il y avait de la vapeur qui sortait du lac, et malgré que le temps fût couvert, je pouvais voir les nuages qu’il était de couleur rouge sang. La journée s’annonçait couvert froid et avec du vent. Cela ne me fessais pas peur car j’étais habitue a des températures plus extrême que cela.

J’avais traversé une usine abandonné et une clairière remplis d’arbre arrache avent que midi sonne. Je me trouvai un endroit pour me restauré au bord du lac puis j’allais remplir ma gourde avant de boire une gorgé de cette eau fraiche. Je m’installai sur un roché couvert de mousse qui fessait un bon matelas et je contemplai le paysage. Après une bonne minute je prit mon sac et je sortie de quoi mangé.

Alors que j’étais en trin de prendre une bouché d’une tomate, j’entendis une voix féminine agréable. C’était une fille à la tente de peau pale aux yeux marron clair.

-Bonjour... C'est dangereux de se retrouver seul ici...

je fini d’avalez se que j’avais dans la bouche avent de parle.

-Bonjour.

Je regardais un peux partout autour de moi essayent de voir un danger mais il y avait rien du tout, il y avait que le calme et les bruits de la nature. Je me retournai vers la jeune femme puis je lui dis avec le sourire.

-Il n’y a pas de trace de pas d’une bête féroce dans les environs, c’est calme et il fait bon. Puis j’ai déjà eu pire comme situation, donc je me fais pas de soucie.

Vus l’heure elle devait avoir faim, de plus il n’y avait pas de route a cette endroit ou un accès possible en vélo. Il y avait que la marche a pied pour arrive la. Et ne voyant pas de sac et de gourde. Je pris dans mon sac un sandwich que j’avais prépare puis je le tendis a la jeune femme.

-Tu a faim ?

Dis-je restent bien installe a ma place et en gardent le bras tendu avec le sandwich vers elle.

Elle semblait prendre du plaisir à mettre ses pieds dans l’eau. Personnellement j’en avais pas envi car l’eau me paressait glacial. Sa se voyez a la couleur de l’eau qui était gris comme les nuages qui se trouvait dans le ciel. Je fus d’ailleurs surprit de la voir faire cela sans se saisir. En repensent a se qui venais de me dire sur les danger de la foret, Je voyez bien les ours mais les pumas…

-Je vois mal les pumas dans cette région car il se trouve plus dans les milieux plus désertiques, par contre les ours … j’en garde une trace sur moi.

Eric n’avait plus faim et préféra de remettre le sandwich dans un sac hermétique avent de le range dans le sac avec le second sandwich. Il se pencha en avent pour mieux voir le paysage qui avait un charme avec le mauvais temps.

-En cette saison ils sont plutôt de nature calme en trin de cherche des tanières il traine peux dans les forets. De plus il on une abondante nourriture donc ils vont cherche à se faire des poissons que une proie qui sait se défendre. Mais par contre se qui se trouve en Alaska il attaque tout a toutes période de l’année.

J’avais croisé un ours l’hors d’une balade dans la neige et il était affamé. Heureusement que j’ai eu de la chance se jour la.

Elle semblait intéresse par son histoire en face d’un ours. C’était du a une imprudence de sa par qui a bien put lui couté la fit.

-Oui il y a un moment de sa. J’étais en trin de me promené avec une de mes chienne et je me suis retrouve nez a nez a un Ours. Je suis resté immobile mais ma chienne c’est mis à rogner. J’ai dit a Yupa d'arrête mais elle ne la pas fait. L’ourse s’avança vers moi et il me donna un coup de patte qui m’érafla la peau ici.

Eric remonta une manche de sa chemise et il montre la trace encore visible des griffes. Avant de la redescendre ne voulant pas en montré plus.

-Il c est mit a foncé après sur la chienne, j’ai prit mon couteau et par chance j’ai pour la planté dans sa colonne vertébrale se qu’il la tue sur le champ.

Eric avait de la tristesse car sa chienne Yupa décéda deux moi plus tard de mort naturelle. Il se mit a regardé le lac sans dire un seul mots de plus.