je cherchait de quoi me mettre,ne voulant pas passer pour un imbecil.je regarda ma montre:18h.il me restait une bonne heure avant de partir.je choisi un jeans noir,je ne voulait pas etre trop chic non plus.je prit un t-shirt vert flash et mit une casquette a palette droite.je pacienta devant ma maison,toujours aussi concentrer sur ma montre.quand il fut 18h45,je monta dans ma mostagne et partit en direction de l'adresse que mackenzie m'avais donner.je fut devant sa porte a 19h(je suis ponctuelle )et je sonna.j'attendit que quelqu'un vienne m'ouvrire.je percus des pas devalant des escalier,et un coeur battent la chamade.puis,la portre s'ouvrit: une jeune femme qui n'étais pas celle que je voualait voir.sa tante surment,elle m'en avait brièvement parler.celle-ci parut surprise de recevoir un inviter,mais je lui dit:

-je viens chercher mackenzie pour aller au cinéma.

Elle me fit un charment sourire et appela l'interesser.elle devala les escalier en un clin d'oeil.la belle jeune fille que j'avais rencontrer au lac se postai devant moi avec un sublime sourrire.je lui prit la main et nous partirent ensemble vers le cinema dans ma mostagne.je passa mon bras autour de son epaul durant tout le trajet qui menai vers notre soirer.je me stationna devant la porte et entra avec mac'.je lui demanda:

-comme on avait dit,SAW 6?

Elle aquiessa et nous arrivions a la caisse.bien sûre,je paya son entrer ainsi que la mienne avant d'entrer dans le cinéma . Je lui acheta du pop corn et un brevage,mais moi je ne prit rien.nous entrames dans la salle de cinéma et nous installions au milieu de la salle...

Je venais de finir de mon bain. J'avais fait en sorte de presque rien manger tellement j'étais stressée de ce premier rendez-vous avec Julien. Depuis que je l'avais rencontré, il hantait mes pensées ainsi que mes nuits. Je ne pensais qu'à lui, je ne prétait même plus attention aux autres. Je crois même que ma tant s'en était rendu compte, elle ne m'avait encore jamais vu aussi heureuse, surtout depuis la mort de mes parents. Je pensais ne plus retrouver goût à la vie. Mais Julien me prouvait le contraire, il était si charmant avec moi, a vrai dire je n'y croyais pas au coup de foudre, je pensais que cela n'était qu'une pur invention de gens trop sentimentaliste ou bien que cela n'existait que dans les livres ou films à l'eau de rose. Mais avec Julien, je me rendis bien compte que cela était un coup de foudre... mais je ne savais pas encore si de son côté c'était la même chose.

Je l'espèrais de tout mon coeur. Je ne voulais pas me faire des idées, m'enfin je verrais bien. Je partis en direction de ma chambre, me sécha les cheveux, j'hésitais entre deux robes, l'une était blanche assez basique et assez romantique aussi et l'autre à carreau assez original, comme celle dans les film à la Alice aus pays des merveilles. J'aimais beaucoup cette robe, elle n'était pas banale et avec une petite capuche en pointe qui descendait le long du dos, elle possédais aussi des ouvertures au niveau des épaules.
Je l'avais depuis longtemps mais je ne l'avais jamais mise. Je réfléchis un moment avant de d'enfiler la robe à carreaux, pourquoi pas innover de style vestimentaire, je voulais pas suivre la mode.

Je regardais mon reflet dans le mirroir et faisait quelques poses rigolote, elle était pas mal... pas mal du tout même, ca me change des robes blanches ou crèmes habituelles:

Spoiler:

Je terminais de me maquiller, et de me coiffer, quand j'entendis la sonette retentir. Déjà là ? il était rapide, je souris en repensant à lui. Je finissais de me coiffer, j'enfila mes bottines avec un petit talon, car je ne supportais pas vraiment les talons. Mais là, je voulais bien faire un petit éfforts. J'entenis quelqu'un ouvrir et parler avec Julien. Oh! non pas ma tante, elle allait encore me bombarder de questions à mon retour u_u
Rien que d'y penser ca me faisait déjà mal au crâne. Celle ci s'écria du bas de l'escalier:

- Enzie ! Ton prince charmant est là, ne le fait pas patienter

Je dtestais qu'elle m'appelle Enzie, mais bon s'était ma tante j'y pouvais rien. s'était mieux que si elle avait dit: "Mackenzie Isis Harmony Candel ", là je l'aurait "tuée" façon de parler bien sûr. Bref revenons à nos moutons...
Prenant mon courage à deux mains, je descendis les escaliers en moins de deux et me posta devant lui, je fusillais du regard ma tante espérant qu'elle ne lui ai rien dit à mon sujet... on ne sait jamais les choses que peut sortir ma tante, pour sois disant me mettre "à l'aise". c'était plutôt le contraire oui !

J'embrassa ma tante sur sa joue, avant de filer main dans la main avec Julien. Je pense que ma tante est assez cool, moi qui redoutait qu'elle me voit un jour avec un garçon. Mais je pense que cela vient du fait qu'elle soit très jeune pour être ma tante, donc beaucoup plus compréhenif que d'autres parents. On marcha en direction de la voiture, Julien s'installa au volant, je ne savais pas qu'il savait conduire, moi qui harcéle ma tante pour en avoir une, de voiture!

Je m'assis à côté de lui. Nous roulâmes un bon moment, qu'on tout à coup il passa son bras autour de mes épaules. Je souris intérieurement et le laissa faire, je déposa même ma tête sur son épaule. les fenêtres étiaient ouvertes, le vents soufllait un peu mais rien n'était comparable à la froideur de ses bras. Je laissa ce mystères de côtés pour savourer le moment présent. Nous arrivâmes au parking du fameux cinéma de Port Angeles, il descendit de la voiture je fis de même. il me prit la tout aussi froide que son bras, mais cela ne me dérangais pas, je resserra ma main dans la sienne.Et nous anvançâmes vers le guichet. J'allais payer mais trop tard il me devença, son geste était sincère et assez romantique. Il me dit que s'était bien pour Saw 6 ? J'aquiecsa incapable de sortir un son tellement j'étais au anges.je connaissait très peu d'hommes qui payerais la place d'une femme de nos jours ! cela me révoltais d'ailleurs !

Mais où étais passer l'époque du romantisme, du respect et de la loyauté...
Juste devant moi a ce que je voyais, oui ! c'était quelque chose qu'il représentait magnifiquement bien. Je l'admirais déjà et j'étais sous le charme.
Les places en mains, nous allâmes nous installer au milieu de la salle, nous nous asseyâmes. Je remarquais de nombreux visages se tourner vers nous, enfin vers Julien. Je n'avais rien d'interessant à regarder mais lui était splendide, les gens devaient surement pense:*mais qu'est ce que cette cruche fait avec ce dieux *. Je confirme qu'est ce que je faisais là, avec quelqu'un d'aussi parfait. Je n'eu pas le temps de poursuivre mon résonnement, que le film commencait déjà. Je me concentra dessus.

Puis j'osais tourner la tête vers lui, bizarrement nos yeux se croisèrent, je rougis un peu avant de m'enfoncer dans le feuteuil. Comment un type comme ca pouvait m'aimer ? impossible ! je rêves, je me fais des idées !
Je me concentra sur le film quand s'en m'en rendre compte je sortis tout bas:

- Pourquoi ? Pourquoi m'avoir invité ? j'aime beaucoup le cinéma mais si c'est pour une blague, te marrer et partir... c'est pas la peine !

Je m'étonnais, c'était moi qui venait de dire cela ? moi, celle que ma tante nommé la coincée, la timide ? non impossible, je tournais le regards pour me rendre compte que c'était bel et bien moi qui venait de dire ca..

Je mis ma main devant ma bouche gênée et complétement rouge comme une tomate.

- Désolée... lâchais je avant de m'enfoncer à nouveau dans le fauteuil.

Je mismes deux mains sur mon visage et gémit à l'idée d'avoir des choses aussi absurdes. Voilà, qu'il me prenait pour une folle à présent !

en s'assisent au millieu de la salle,tout le monde tourna la tete vers nous,enfin vers moi.j'ai toujours repousser les fille qui me fesait des avence,et je n'en avait jamais inviter une non plus.tout le monde me pensait trop timide,ou trop difficil pour choisir une fille.mais avec mackenzie c'etais different,c'etais...magique.

le film commenca,et mac' etais concentrer sur le film.puis,je regarda vers elle,et nos regard se croisere.elle rougie,se qui me fit sourire.je me colla un peu plus sur elle.puis,elle sortit bizarrement:

- Pourquoi ? Pourquoi m'avoir invité ? j'aime beaucoup le cinéma mais si c'est pour une blague, te marrer et partir... c'est pas la peine !

je resta bouche bée.pourquoi avait-elle dit une chose pareil.avant que j'eu le temps de repondre quelque chose,elle mit sa main sur sa bouche et s'excusa avec peine.elle regardais a nouveau le film,mais pensait srment que apres avoir dit un truc du genre,elle n'avait plus aucune chance avec moi.je la rassura tout de suite:

-pourquoi dit tu une chose pareil,tu sais bien que...je t'aime...et si il faut que je te le prouve,je le ferait...

je m'approcha d'elle et plaqua mes levre sur les sienne.le baiser dura longtemp,mais trop court a mon gout.mais si je continuait,j'aillait lui sauter dessu.je lui demanda:

-alors,t'es convaincue?

elle aquiessa,et je sourit.je passa mon bras autour de son cou,et continuait a regarder le film...

J'osais enfin enlever mes mains de mes yeux et le regarder. Il semblait... choqué. Ca me rassure pas du tout son expression. Je soupirais, puis me rassis convenablement, j'étais vraiment folle alliée, lui avoir dit ca, comme ca u_u. J'avais vraiment honte !

-pourquoi dit tu une chose pareil,tu sais bien que...je t'aime...et si il faut que je te le prouve,je le ferait... avait-il déclaré tout en s'approchant et en déposant ses lèvres contre les miens.

Il... il quoi ?
S'était à mon tour d'être choquée et de ne plus trouvers les mots. En plus de cela, c'est la première fois qu'on m'embrassait. Je... s'était drôle, gênant et en même temps si bon... si... wouaouuh. Je remarquais aussi que ses lèvres était comme... glacées... était-il frilleux à se point ? Je resta un moment dans la position de notre baiser, les yeux fermer, je semblait rêver tellement cela m'était iréel.

-alors,t'es convaincue? pourquit-il.

Je le regardais dans les eux, lui était différant des autres garçons... je le sentais.
Et ce baiser, je m'en souviendrais toute ma vie, j'en étais certaine. En même temps s'était le seul et l'unique baiser que je pu avoir jusqu'ici.
J'acquiesca et me rassis, m'enfonce un peu moins dans mon fauteuil.
Je pris automatiquement son bras et le mit autour de mes épaules, le contact de sa peau contre la mienne me manquait déjà. Je posa ma tête contre son torse et me remit à regarder le film.

- Oui... murmurais-je éspérant qu'il eu entendu. Je souriais, en regardant le film, s'était un film d'horreur mais il ne me faisait pas plus peur que ca, j'étais... est ce le mot excat... oui c'est bien ca... j'était... heureuse.

elle s'acota sur mon torse,et murmura:oui.se petit mots toute fois voulait dire tant de chose,tant de mots.je put lire dans ses yeux comment elle etais heureuse,puis,pour tout gacher,un petit malin me lanca du pop corn.je le connaissait,il avait fait la meme chose avec des potes quand nous avons ete au ciné entre amis.je bouillait,et il le voyait dans mes yeux.je le fusillait du regard quand mac' se tourna vers moi.elle me fit signe de me calmer,se que je fit.mais si il recomence,il va avoir affaire a moi.je ne regardais presque pas le film,j'etais trop concentrer sur la magnifique fille qui se collait sur moi.je demanda a mac':

-s'il te plait,si on croise se gamin fait moi faire un detour d'accord?

elle aquiessa en rigolant,le plus beau son du monde.son rire etais comme une melodie qui resonnais dans ma tete jour et nuit.

Je releva la tête quand je vis un morceau puis plusieurs tomber sur nous. Je crus à un moment, qu'il pleuvait des pop corn. Jereleva un peu plus la tête, et vit un petit garçon pas plus grand que trois pommes prendre une poignée de pop corn et nous l'envoyais. Je riais, il me rappelait moi... enfin moi quand j'étais petite, toujours à courir partout, à faires les 400 coups et faire tourner mes parents en bourrique. Mes parents. Je soupirais rien qu'en pensant à eux, ils me manquaient tellement, je crus que mon monde s'était éffondrée, je me rapelle le coup de fil à l'hôpital, les infirmières me rassurant... ma dépression qui avait durée deux ans à peu près avec plusieurs rechute. Je secouais ma tête, je ne voulais pas penser à cela.

Pas ici, pas maintenant... pas en sa présent, pas en la présence de celui que j'aimais.
Je regardais à nouveau l'enfant, il semblait pas lâcher le morceau, se donnant tant de mal pour exaspérer Julien. ma peine était partie à présent, laissant place, à mon sourire qui devenait presque une habitude depuis que j'ai rencontrée Julien.

- s'il te plait,si on croise se gamin fait moi faire un detour d'accord ? m'avait-il dit en regardent l'enfant.

J'acquiesca puis rie, le petit était certes embêtant, mais après tout ce n'est qu'un petit.
Je m'avança vers le petit et lui caressa la joue, je lui souriais et il me rendit mon sourire, il avait perdu ses deux dents de devant, ce qu'il était chou. Je lui murmura à l'oreille:"coucou toi, où est ta maman ? ..." *il me montra sa mère du doigt*
Je regardais la direction q'il me montrait puis je poursuivit toujours à voix basse:" Tu ne veux pas la rejoindre ? elle doit rudement s'inquièter... " il me souria à nouveau, je ne comprenait d'ailleurs pas pourquoi il me souriait au lieu de me répondre. Mais je ne disait rien. Il regardait Julien :" C'est qui ? c'est ton copain ? "
Je rougis, et voilà qu'un gosse, me posais des question plus ou moins embarassante maintenant. Je n'osais pas regarder Julien, j'espèrais juste qu'il n'est pas entendu. J'évitais aussi de répondre à la question de l'enfant.

"- et si je te passais, quelques bonbons ? tu iras te mettre à côté de ta maman ? " Je le regardais vivement, préssée qu'il se lève et aille rejoindre sa mère.
Je sortis de ma sacoche, un sachet de bonbons assez épais, heureusement que je ne fus pas beaucoup bruillante, sinon je savais déjà que je me serait mise toute la salle à dos.

"- Promais le... " lancais je toujours à voix basse à l'enfant.
Il était vraiment attiré par le paquet de bonbons que je tenais dans ma main droite.

"-Oui... " fit-il avant que je lui tende le paquet, il le pris sans hésite se leva mais avant de partir, il se tourna vers moi et dit:

"- Merci, t'es... vous z'êtes gentille madame. " il me souria à nouveau, avant d'aller rejoindre sa mère.

Quant à moi, je rejoignis mon bien aimé et m'assis à ses côtés, pour me reblottir contre lui. Voilà que j'arrivais à ammadaouer des enfants maintenant... où va le monde...
Je ris toute seule comme ca, puis remis ma main devant ma bouche. Je devais avoir l'air d'une tarée u_u
Je regardais Julien a prèsent faisant abstraction, du film et de tout ce qui npus entourait. Je pris sa main dans la mienne, entrelacant mes doigts dans les siennes, comme j'avais pu le faire au lac. Je mis de côtés mes longs cheveux châtains car il me gênait un peu et recolla ma tête contre son torse, toujours mes doigts entre les siens.

Mon coeur battait la chamade, était ce comme ca qu'il devait battre quand non était... amoureuse. Je souriais une fois de plus à cette idée.

Mac' s'avanca en avant et tendit un sachait de bonbon.il partit vers une femme,surment sa mère.je sentit sa main dans la mienne .elle s'acota a nouveau sur mon torse,et je la serrait encore plus sur moi.j'entendais son cœur qui battai la chamade.le film de fesait pas aussi peur que prevu,mais nous étions quand même coller l'un contre l'autre.on étais bien comme sa tout les deux.j'avais déjà vue se film,et il me fesait maintenant rire.il étais bientôt terminer,mais je ne voulait pas que sa se termine.pour conclure en beauter cette magnique soirer,je me tourna vers elle,lui sourit et m'approcha jusqu'à se que mes levre ateigne les sienne.ce fut cette fois un longoureux baiser, et je sentait les regard sur nous,qui voualit dire que mackenzie étais chanceuse de m'avoir a ses coter.on pouvait entendre-du moin moi je pouvais-son cœur battant follement.elle étais au ange,et moi aussi.sans le vouloir,je reculait.je la mettait en danger car je ne savais pas encore si j'allait me controler.elle se raprocha encore pour un autre baiser,mais je recula.

-désoler,je me...sens pas trop bien...

Elle fit un regard interogatoire mais n'en redemanda pas plus.

On s'embrasser à nouveau, je sentis mon coeur s'emballer, mais il coupa court. Je ne savais pas vraiment pourquoi d'ailleurs. J'étais comme ensorcelée par ses baisers, je m'avança pour l'embrasser à nouveau mais il recula brusquement comme qi j'avais la peste.

-désoler,je me...sens pas trop bien... avait-il marmonner comme excuse.

Je me redressa pour être parfaitement face au film. Je rammena mes jambes pliées vers ma potrine et me tus pendant toute la séance. On pouvait pas dire que j'étais véxée... non, juste que sa phrase me ramena à la réalité, la dure réalité. Je n'étais pas faite pour être cette Mackenzie là. Depuis mon enfance il ne m'arrive que des malheurs, ce n'était pas maintenant que cela allait césser. Les lumières tamisées, se rallumèrent ce qui me fit un peu mal au yeux. Je me releva et me dirigea en direction de la sortie portable en main.

Je vérifiais ma boite de messagerie:" Aucun nouveau message". Cette soirée avait si bien commencée, mais elle s'était terminée avec catastrophe tout de même. Je jettais un coup d'oeil dehores, il faisait nuit en été en plein printemps mais à Forks le printemps ressemblait plus à l'hiver qu'au vrai printemps. J'avancais vers l'arrêt du bus en grellotent de froids. Je m'assis dans l'abri bus, regardant l'horizon. Quand je sursauta, il était là à côté de moi, je ne l'avais même pas vu venir. Je soupirais qu'allait il encore me sortir. Je dois admettre que je ne suis pas une fille facile, ce n'est pas parce qu'il avait une beauté envoûtante et qu'il était un pur gentleman que j'allais me jetais sur lui, loin de là. Ma peau frissonais au contact de l'air plus que frais, même froids.

Je baissa la tête, sentant qu'il m'oberservait, je ne voulais pas croiser ses yeux...
Non... je... j'avais eu trop démotions pour ce soir. Je vois au loin un groupe de jeunes, ils nous regardèrent, assis sur leurs bagnole occupés à boire surement de l'alcool. Je regardais l'horaire du bus qu'on je me retourna. Il avait disparus. Je regardais les environs un peu perdu, quand j'entendis quelqu'un crier. Je me retourna et le vit, oui, il était avec eux même il avait l'air complétement hors de lui. Il avait plaqué contre la voiture un des types et le tenait par le col de sa chemise. Je me dirigea vers eux, en courant, et me mit entre les deux.

- Stop ! Mais qu'est que... qu'est ce qui se passe. avais je déclaré a haute voix.

Le type marmonna que Julien était un fou et qu'il allait porter plainte au chérif.
Je ne comprenais vraiment rien. Je regardais Julien attendant une plus ample explication de sa part.

elle se remit face au film,et moi j'avais l'air d'un gros imbecil.je ne voulais pas non plus lui sauter dessu,mais elle devait surment se poser des question.les lumiere se ralumere et nous nous dirigions vers la sortit.je vit mac' regarder ses mesages et nous nous dirigions vers l'abris bus une fois dehors.je m'assit a coter d'elle,et elle regardais les horraire de bus.je vit des jeune acoter sur une voiture.un deux sifla a mac'.la rage monta en moi et je me dirigea vers eux.je le plaqua contre sa bagnol et le pritt par le col:

-est-ce que j'ai bien entendut??!!

il me traitais de fou en me disant de me calmer quand mac' arriva devant moi en me demandant se qui se passait.je le lacha,prit mac' par la main et dit:

-vient on s'en va...je t'explicerai...

-vient on s'en va...je t'explicerai... avait-il marmonnais avant d'attraper ma main et de me traîner quelques mètres plus loin, derrière le cinéma.

Je ne comprenais toujours rien, mais je voulais calmer Julien.J'entrelaça mes doigts dans les siens. J'avais vraiment l'air perdu. Il eut comme un blanc, personne ne parla. J'inspira un peu d'air pur, Forks avait beau être une bourgade assez glacial toutefois son air était très pur et bénéfique, surtout lors de balade en forêt, c'est d'ailleurs pour cela que je remarquais de plus en plus la présence de randonneurs dans les environs. Je revins à la réalité, laissant mes songes de côté. Je m'approcha de Juien, mon visage n'était qu'à quelques milimètres du siens, j'avais une terrible envie de l'embrasser là... tout de suite. Mais il fallait que je m'abstienne.

- Que ce passe t-il Julien ? avais je chuchotais les lèvres presque collées au siennes, mais mon front étais collé contre le sien.

Je ressera mes doigts dans les siens, espèrant le rassurer du mieux que je pouvais.

je l'entraina deriere le cinema,et elle s'aprocha de moi.son visage a quelque milimetre du mien,son front coller sur le mien.elle me demanda se qui se passait,mais comment allais-je y expliquer?je rigola un peu avant de dire:

-je suis extrement jaloux...et il t'as siffler...j'ai peter un plomb,pour moi ces une sorte...d'impolitesse tu comprend...

je m'aprocha d'elle pour l'embrasser,et mes levre touchait les sienne.je me trouvait vraiment imecil d'avoir fait sa,mais le mal est fait alors...je lui demanda:

-tu n'es pas obliger de prendre le bus tu sais,je peux te racompagner.

elle sourit,mais je remarqua qu'elle grelotait.c'etais un peu normal car il fesait tres froid a forks.j'ota ma veste et lui tendit.je lui sourit et nous nous dirigions vers l'avant du cinéma ou les jeune etais partit...

Il me regarda puis rigola un peu, je continuais de le regardais droit dans les yeux...

-je suis extrement jaloux...et il t'as siffler...j'ai peter un plomb,pour moi ces une sorte...d'impolitesse tu comprend... m'avait il expliqué a voix basse.

Mais qui était ce jeune homme en face de moi ? Surement pas un jeune venant du 21ème Siècles. Il semblait si différent, de tous ces jeunes que j'observais parfois. Je le regardais toujours le front collé contre le sien. C'est à ce moment là, qu'il avança ses lèvres froides et déposa un doux baiser sur mes lèvres. Je me mis sur la pointe des pieds, et oui j'étais petite de taille comparé à lui, mais bizarrement ce détails, je m'en fichais en fin de compte. Je m'arrêta pour dire:

- Oui... je comprends...


-tu n'es pas obliger de prendre le bus tu sais,je peux te racompagner. avait-il déclaré remarquant sans doute que je grelotter de froids.

J'aqcuiesca et je lui sourit, puis soudain il enleva sa veste et me la mit sur mes épaules. Ce qu'il pouvait être gentleman, je me sentis presque gênée qu'il le soit autant. Il me sourit puis nous nous dirigeâmes vers la voiture, je monta à ses côtés pendant qu'il s'installa au volant. Il ne faisait plus aussi froids que dehors, il mis le contact et nous ropulpames silencieusement, moi regardant les arbres défilé à vive allure et lui concentré sur la route. Je vis enfin ma maison au loin, il se gara sur le trottoir d'en face. Il m'ouvrit la porte, j'en descendis m'avança vers ma porte il m'y suivit. Je cherchais mes cléfs, les lumières étiaient eteintes soit tante Elisabeth dormait ou soit elle avait fait en sorte de ne pas être là. Elle avait de ses idées farfelues parfois, que je n'arrivais pas plus vraiment à la suivre.

Je mis la clefs dans la serrure, ouvrit la porte puis me tourna vers Julien:

- Je t'invites dans lugubre demeure ?

Je riais car, ma maison était un peu trop.. calme et les voisins qu'on avait était un peu trop même, superstitieux. Enfin d'après ma tante. Je le regardais, puis enfin il s'avança et entra à son tour.
Je lui rendis sa veste en le remerciant, et l'invita au bar de la cuisine. Je m'assis et le regardais, je ne savais pas trop ce que je devais dire ou faire. Après tou c'était mon premier rendez vous avec un garçon, on pouvait pas dire que j'étais experte en la matière. Je fis tourner un stylo autour de mon pouce, c'est ce que je faisais qu'on j'étais un peu nerveuse, c'était ça ou me ronger les ongles. Mais dans cette situation, ca aurait été grotesque de me ronger les ongles devant lui, je passerais pour qui hein?!

J'étais le plus possible de le regardais dans les yeux, car ceux ci m'attirait terriblement.

Elle me dit quelle comprenais,et je sourit.nous nous dirigions vers ma voiture,et nous nous assimes avant que je mette le contact.elle se colla sur moi en regardant les arbre qui défilait.elle devait trouver que je roulais vite,mais j'étais abithuer a cette vitesse.Personne ne plaça un mots durant tout le trajet,mais le silence étais apessant.je vit la maison ou j'avais été chercher la douce qui étais a mes coter un peu plus tôt .Je me garra sur le trotoire juste en face de sa maison.je me dépêcha d'aller lui ouvrire la porte,et elle se diriga vers l'entrée de cher elle.je la suivit,et elle commença a chercher ses clef.j'entendait un cœur battre dans la maison:surment sa tante,même si le Lumière étais fermer.

-je t'invite dans ma lugubre demeur?

Elle rigola,et je joingit mon rire au sien.j'entra avec elle,évitant de faire trop de bruit.nous nous dirigames vers le bar de la cuisine,et j'alla la rejoindre.elle étais dans la lune,et jouait avec un stylo.je n'avais jamais vraiment eu de rendevous,je ne savais pas trop quoi faire.je m'approcha d'elle,la prit par la taille et l'embrassa dans le cou.

-tu doit être fatiguer chérie,tu devrait aller te coucher...

Elle me fit signe que non,je rigola puis lui dit:

-enzie ne veut pas aller dormir avec son Prince charment?

Je la prit dans mes bras et monta les marche avec elle.

Il s'approcha de moi et me prit par la taille. Cela ne me dérangeais pas s'était tout le contraire. Elle fit glisser un doux baiser froid dans mon cou, je frissona puis sourit, ca me plaisait d'être avec lui. J'espèrais que c'était réciproque...

-tu doit être fatiguer chérie,tu devrait aller te coucher... me déclarat-il toujours collé contre lui.

Je fit signe que non, puis je ris car dormir n'était vraiment pas ma priorité, enfin surtout ce soir.

-enzie ne veut pas aller dormir avec son Prince charment? dit-il tout en riant.

J'éclatais de rires, voilà qu'il devenait comme ma tante maintenant. Il y avait un part de vérité dans les mots de ma tante, j'étais d'accord avec elle, j'avais trouvée mon Prince Charmant, il était... plus que parfait et plus que charmant. Je souris, sans trop savoir savoir pourquoi.

- Par pitié, ne m'appelle pas comme ca... avais -je dis tout en rigolant.

Et c'est à ce moment là, qu'il me saisi dans ses bras et monta les marches, j'étais stupéfaite, je pésais lourds tout de même et lui ca semblait ne pas le dérangeais. Toujours dans ses bras il s'avança vers chambre ouverte, et dans la pénombre me déposa sur mon lit. Je le regardais, il faisait noir mais je le voyais, je lui fit de la place pour qu'il puisse s'allonger à mes côtés, ce qu'il fit rapidement. Je cala ma tête sur son torse, et pris sa main dans la mienne. Comment se faisait-il que son contact, son sourire, son visage, ses paroles, sa présence, tout simplement lui... m'était devenue indispensable. Je me tourna vers lui, nos yeux se croisèrent, coeur s'emballe, j'approchais ma tête de la sienne, me releva légèrement et me mis un peu au dessus de lui. Je l'embrassa, passant mes longs doigts dans sa chevelure or.

- J'ai l'impression que tout ceci n'est qu'un tellement.. c'est beau... si cela est un rêve, j'aimerais ne plus jamais me réveiller et rêver de toi tout mon existence...
Je... Je t'aime ! lui dis je à voix basse.


Je caressa le longs de son nez avec mon index et fit de même pour ses lèvres, puis j'y déposa un long et tendre baiser. Je ne voulais plus lâcher ses divines lèvres.

Toujours mac' dans mes bras,j'entra dans sa chambre,la Lumière fermer et la déposa doucement dans son lit.elle me fit une place,que je combla tout de suite.elle s'acota sur mon torse,et je l'enlassa.je me sentais si...bien..si...moi avec elle,sa ne s'explicait pas vraiment.je la regarda,puis nos regard se croisere.elle prit ma main,entrelassant ses doigt au mien.Elle s'approcha de moi et nos lèvre se touchèrent.elle m'embrassa mettant ses doigt dans mes cheveux.elle me dit qu'elle avait l'impression que ceci n'étais qu'un rêve,qu'elle ne voulais plus jamais se réveiller,ou rêver de moi toute les nuit.je sourit et dit:

-je t'aime.

Elle passa un doigt sur mon nez,finissant sur mes levre avant d'y déposer un autre baiser.j'entendis des pas que seul mon ouïe pouvais attendre.je les laissa faire,mais notre baiser se fit surprendre par sa tante qui entra dans la chambre.elle nous regardais bizarrement,mais mac' étais quand même sur moi.je fit bouger mac' sur le côté et regarda par terre.mac' avait l'air gêner et en même temp fâcher.

Je caressais sa joue de mes doigts fin, avant qu'il ne dise enfin les mots que je voulais tant entendre:

-je t'aime

Je lui sourit, à ce moment je ne voulais penser à rien d'autre seulement à lui. Oubliant même qu'on se trouvait dans ma chambre, dans le noir et... sur mon lit. Il me souriait à son tour, je ne pouvais que fondre devant un être si parfait, savait-il vraiment à quel point j'avais des sentiments envers lui!. Je ne bougea pas d'un millimètre toujours au dessus de lui, j'avançais ma tête pour réclamer un autre de ses baisers. Quand il fut surpris et se releva d'une vitesse incroyable me remettant sur le côté droit du lit, je ne compris pas au début la raison de son geste. Jusqu'à ce que je tourne ma tête vers la porte de ma chambre et qui je voyais là... ma ma chère tante nous regardant d'un air presque... outrée.

Le resta toujours sur le pas de la porte mais sa douce voix montait un peu dans les aiguë:

- Mackenzie... que... tu... sans même sa phrase ni même l'avoir commencé d'ailleurs, elle tourna les talons et repartie dans sa chambre.

Était-elle déçue de moi ? Elle avait tellement l'air... je n'avais encore jamais cotoyer de garçons auparavant, est ce que cela la dérangeais ? je n'avais pas vraiment réponse à toutes ses questions. J'étais stressé, énervée, fatiguée et j'avais tellement peur d'avoir fait du tort à ma tante. Je... je verrais peut être cela avec elle demain... enfin si elle me parlait encore.

Je me tourna vers Julien il me fixait et inquiet, il pensait surement que j'étais énervée contre lui, mais s'était faux. Je ne n'emporte pas contre les gens que j'aime cela ne serais jamais dans mes habitudes. Je me leva et me posta devant mon armoire où je sortis mon pyjama enfin le large t-shirt blanc qui me servait de pyjama.
D'un geste automatique j'enlevais ma robe, me retrouvant ainsi en sous vêtement et enfila par la suite le fameux "pyjama". Je me tournais vers lui, il ne pouvait pas m'avoir vu, vu quand est dans le noir semblait impossible a part pour un chat ou autres animaux capable de voir dans le noir. Enfin il n'était un chat loin de là. Je m'approcha doucement et me rallongea de mon côté, il était assis là à me regarder. Il semblait songeur j'aurais aimée à se moment là, savoir à quoi il pouvait bien penser.

Il se rallongea à mes côtés où je pus reprendre ma position d'avant que ma tante ne nous "surprenne" c'est-à-dire ma tête sur son torse. Je tourna ma tête en sa direction pour déclarer d'une voix fébrile et presque inaudible:

- Restes avec moi... je t'en supplies... rien que pour cette nuit. Peut être qu'à tes côtés je trouvais enfin le sommeil...

Je posa ma main sur son torse attendant de tomber dans les bras de Morphée. Je me sentais si fatiguée mais si heureuse, de l'avoir trouvée, oui... lui... mon prince charmant... mon amour...celui qui m'a volé mon cœur à présent. Mes paupières commencèrent a se fermer qu'en quelques sortirent de ma bouche:

- Je... Je t'aime aussi...

Je me blottit contre lui sombrant dans un profonds sommeil.

Sa tante nous regardais d'un air surpris et peut-être déçus.je regardais mac' puis sa tante sans cesse.sa tante balbuta quelque mot:

-Mackenzie...que...tu...

Puis elle se tourna et disparut dans le couloirs . J'entendit des pas dans l'escalier qui decendais puis quelque minute plus tard ceux qui montait avec une porte se referment doucement.je sentait que Mackenzie étais stressé et énervé.je la regarda bizarrement,inquiet que sa tante ne soit fâcher contre elle.elle se leva,se dirigean vers son armoir en y sortant un grand chandail blanc.une personne normal n'aurait pas vue mac' se déshabiller et mettre le chandail.elle s'aprocha vers moi,je m'assit a cote de elle.elle s'allongea,puis je le fit a mon tour.elle posa sa tête sur mon torse avant de se tourner vers moi et déclarer d'une vois tremblante:

-reste avec moi...je t'en supplie... Rien que pour cette nuit.peut être qu'a tes coter je trouverais le sommeil.

Je sourit en la regardant,puis elle posa une main sur mon torse avant que ses paupière se referme:

-je t'aime aussi...

Me lança t'elle avant de dormir.